Question pour les plus agé?

Je me posait une petite question j'ai fait quelque recherche sur internet sur les loi aux niveau des armes a feu aux Canada. J'ai vue que avant 1995 c'était beaucoup plus libre aux niveau des autorisation restrainte et que avant 1978 on avait pas besoin de permis pour possesion/acquisition.

Est se qu'il y aurait des membres du forum qui ont vecu cette epoque qui pourrait raconter quelque histoire ou dire comment c'était en general?

Merci

Tu dois certainement parler de la période avant C-68 (Décembre 1995)

Voici un résumé

http://www.thecanadianencyclopedia.com/articles/fr/controle-des-armes-a-feu

Voici une petite historique intéressante

http://www.yvondionne.org/loic68.html

Voici depuis 1977 - C-17 (1991) C-68 (1995)

http://www.guncontrol.ca/francais/F/Loichangements.pdf

Bonjour,

Vers les années 1944 – 1945 à l’école primaire nous (13-14 ans) étions tous dans les cadets. Le samedi matin nous allions à l’école ou des Lee Enfield #7 nous attendaient. Nous avions dans l’école une salle de tir de vingt verges ou nous tirions sous la supervision d’un entraineur militaire avec des munitions fournis par le gouvernement.

Plus vieux je fréquentais l’école Saint Dominique sur la rue De Lorimier à Montréal, ou le samedi matin nous prenions nos #7 et nous marchions sur la rue De Lorimier à partir de l’école jusqu’à la compagnie Fry-Cadbury au nord du boulevard St-Joseph ou nous tirions dans leur salle de tir.

Le policier qui patrouillait le secteur à pieds, ne nous questionnait même pas en passant.

Plus tard à l’université McGill nous avions une salle de tir (carabine et pistolet) ou nous avions des compétitions inter facultés et inter universitaire ( Les armes étaient fournis par l'université).


C'était le bon vieux temps....................


Un jeune d'esprit au cheveux blanc (ce qui reste)

Le Québec, avec sa police, a toujours été plus contrôlant lorsqu'il s'agissait d'armes à autorisation restreinte.

Je me souviens qu'à la fin des années 60, nous devions passer aux empreintes pour obtenir un certificat d'enregistrement pour un revolver, et subir les sarcasmes des policiers de la S.Q. qui n'étaient pas d'accord à ce que les civils aient des armes (revolvers - pistolets)

La Charte des Droits et Libertées a changé bien des choses à ce sujet.

MAIS, la S.Q. n'a jamais arrêté d'écoeurer les honnêtes citoyens qui avaient des armes.

Encore aujourd'hui, la S.Q. force les honnêtes citoyens à se départir de leurs armes de poing s'ils ne sont pas membre d'un club de tir, le Québec est la seule province à agir de la sorte.

IMAGINEZ VOUS S'IL FALLAIT QUE LE QUÉBEC SE SÉPARE.

L'état policier serait pour bientôt.

Dans la même lignée, tous les étudiants de l'école secondaire que je fréquentais se devaient de faire partie des cadets de l'air. Nous avions des cours de maniement de la no 7 et quelques uns d'entre-nous avaient le privilège de tirer dans la salle de tir sous les gradins de l'aréna de l'école.

Je me souviens qu'en 11ième année, lors d'un cours de physique, le prof a fait une expérience/démonstration en tirant quelques coups de no 7 dans la classe.

Expérience qui s'est value très concluante. Je ne crois pas que l'on voit ou puisse voir quelque chose du genre de nos jours.

Que de bonnes années.

eeyouelder a écrit:

Bonjour,

Vers les années 1944 – 1945 à l’école primaire nous (13-14 ans) étions tous dans les cadets. Le samedi matin nous allions à l’école ou des Lee Enfield #7 nous attendaient. Nous avions dans l’école une salle de tir de vingt verges ou nous tirions sous la supervision d’un entraineur militaire avec des munitions fournis par le gouvernement.

Plus vieux je fréquentais l’école Saint Dominique sur la rue De Lorimier à Montréal, ou le samedi matin nous prenions nos #7 et nous marchions sur la rue De Lorimier à partir de l’école jusqu’à la compagnie Fry-Cadbury au nord du boulevard St-Joseph ou nous tirions dans leur salle de tir.

Le policier qui patrouillait le secteur à pieds, ne nous questionnait même pas en passant.

Plus tard à l’université McGill nous avions une salle de tir (carabine et pistolet) ou nous avions des compétitions inter facultés et inter universitaire ( Les armes étaient fournis par l'université).


C'était le bon vieux temps....................


Un jeune d'esprit au cheveux blanc (ce qui reste)

WOW!! Mon pere (57 ans) ma deja raconté une histoire du genre. Quand il était a l'école secondaire lui et un de ses camarades avait fait un exposé oral sur les armes a feu lui avait amené un .12 et une .22 et son copain quelque revolvers qui appartenait a son pere. On ne verrait pas sa aujourd'ui. Je me demande bien se qui a pu se passé en une generation pour que l'opinion general change tant sur les armes a feu des loi c'est un chose mais la pensé des gens c'est une autre.

1clickdown merci pour les articles tres interessant

On ne verrait pas sa aujourd'ui. Je me demande bien se qui a pu se passé en une generation pour que l'opinion general change tant sur les armes a feu des loi c'est un chose mais la pensé des gens c'est une autre.


ont appelle ca de la propagande médiatique.

un certain politicien allemand a déja dit:répeter un mensonge assez souvent et les gens vont finir par le croire.

quand j'étais ti-cul,moi et mes amis ont allaient tirer de la carabine a plombs et de la .22 lr dans la cours de nos parents.pour s'y rendre ont y allais a vélo.


nous demeurions tous a laval(cartier duvernay pour ceux qui connaissent) pas a la campagne.sa ce passais a la fin des années 70-début 80.

quand je pense a ca,je devient nostalgique.

ca me rappelle que...a une certaine époque, j'ai déja été libre.

Citation :

...un certain politicien allemand a déja dit:"répetez un mensonge assez souvent et les gens vont finir par le croire"...

Ah, ce bon Joseph Goebbels, l'âme damnée du vilain moustachu!
PP.

Ah, ce bon Joseph Goebbels, l'âme damnée du vilain moustachu!
PP. [/quote]


comme d'habitude vous avez raison p.p.

c'est bien lui, l'infâme dr. Goebbels,le pere de la propagande moderne.

pipefocker a écrit:

un certain politicien allemand a déja dit:répeter un mensonge assez souvent et les gens vont finir par le croire.

Ça doit-être vrai car Charest à l'air de se croire.

En secondaire 5, le cours de sécurité du chasseur avait été donné à mon école et une journée pratique avait été incluse à St-Jacques le Mineur . J'avais emmené ma Cooey en autobus avec moi à l'école pour cette journée là.

La même année, mon groupe de français tournait un vidéo. Une des scènes impliquait un trappeur et l`élève qui le jouait avait sa Marlin 1893 dans la classe.

Les temps changent.

J'entend toutes vos histoires de l'école secondaire, c'est frustrant moi quand j'était aux secondaire. J'avait amené des revues d'armes a feu dans un cours d'anglais parceque il fallait amener de la lecture anglophone et je me les était fait confisquer et l'école avait communiquer avec mon pere (qui m'avait acheter les dites revues).

Au secondaire, nous avions un club de tir à la carabine, un prof en était responsable, à chaque journée d'activité, nous allions tirer dans un club de tir. Je prenais l'autobus scolaire le matin avec ma carabine.

...Pas de loi 9 dans ce temps là.

a laval dret ou l'hopital cité de la santé est construit j'allais tiré des pigeons au 12 ha!ha!

des vrais pigeons

et j'ai chassé le canard de marais avec mon pere dret ou passe la 19 a laval entre le bvl st martin et la 440

d'ailleur ont peu encore apercevoir ce qui reste de l'immense swamp qui as ete enterré pour faire un golf

Libertarian Shooter a écrit:

J'entend toutes vos histoires de l'école secondaire, c'est frustrant moi quand j'était aux secondaire. J'avait amené des revues d'armes a feu dans un cours d'anglais parceque il fallait amener de la lecture anglophone et je me les était fait confisquer et l'école avait communiquer avec mon pere (qui m'avait acheter les dites revues).

<

Merde on est peut-être passé par la même école... Mais moi j'ai souvenir d'avoir fait un oral sur le registre...Bien sur je n'étais pas d'accord.. Bon.. J'ai pas poussé aussi fort que certains ici.... J'ai juste aporté des douilles..

Simmental

Je me souviens très bien entrer a la quincaillerie Gosselin et le support de carabine était juste a coté de la porte d'entrée.
Les 303 30-30 12 28 étaient a disponibilité de tous a partir du mois d'août.
Un 12 c'était 12 piastres et ce que j'avais dit a mon père, c'est: que je préférais plus le 12 car payé 410 piastres pour un 410 je trouvais ça exagéré.
Il avait bien ri.
Mais n'empèche qu'a chaque midi je retournais sur le "rack" et visais la barbier Fournier en face avec la 30-30. Il n'est pas mort de cette façon le pauvre.
Reste que la perception a bien changé suite a une tragédie qui a laissé une cicatrice profonde infectée par nos bons politiciens.

Je suis trop jeune pour avoir connu cette époque, mais mon père allait tirer avec ses amis vers l'âge de 10ans. Ça roulait en bicycle avec leur fusil sur le dos.

En 1998, j'ai fait un exposé oral dans le cadre d'un cours de science secondaire 1. Je parlais de l'énergie dégagé de la combustion. J'ai donc ammené mon bon vieux 12 1 coup r et r daté de fev 1900 et des douille vide comme support visuel. J'avais, bien sur, préalablement demandé au prof. J'ai ammener le fusil démonté dans un sac de sport le matin et ma mère est venu le chercher toute suite après mon exposé. Le prof a trippé bien dur et je me suis tapper un 100%. Il faut croire qu'il y a du monde raisonnable et qui ont comprit le sens primaire de la didactique soit utilisé les passions d'une personne pour lui enseigné de façon efficace et agréable.

Un gros thumbs up pour ce prof !!!!!!

c'est des histoire très intéressante à lire mais en même temps elles sont décourageantes elles montrent exactement comment le Québec est devenu imbécile à l'égard des armes à feu et selon moi, cette histoire se répète dans biens d'autres domaines et tout sa par la bêtise de quelques un et l'imbécilité de quelques politiciens

plourde219 a écrit:

c'est des histoire très intéressante à lire mais en même temps elles sont décourageantes elles montrent exactement comment le Québec est devenu imbécile à l'égard des armes à feu et selon moi, cette histoire se répète dans biens d'autres domaines et tout sa par la bêtise de quelques un et l'imbécilité de quelques politiciens

Le moindre bobo mobilise les surcommunicateux, en campagne pour l'extermination des problèmes de la vie.

plourde219 a écrit:

c'est des histoire très intéressante à lire mais en même temps elles sont décourageantes elles montrent exactement comment le Québec est devenu imbécile à l'égard des armes à feu et selon moi, cette histoire se répète dans biens d'autres domaines et tout sa par la bêtise de quelques un et l'imbécilité de quelques politiciens

Je dirais que c'est pas juste aux Québec je suis pas mal certain que si un jeune de 15 ans demande la permission d'apporter un fusil a l'école pour faire un exposé la reponse va etre non aux Québec en Colombie Britannique, Angleterre, France etc... Meme aux USA mettons a New York sa passerait pas.

Pis se que je comprend pas c'est que la majorité du monde normal quand tu leur parle de gun il capote pas. Mais c'est la petite élite bien passante et de peur de mal paraitre le monde dise rien.

les bobos sont créé par la société et l'éducation qu'elle apportent. Les armes sont un beau sujet de sensationnalisme pour les média ils ont besoin que du négatif a cet effet. Mais le positif est ignoré ce n'est pas assez spectaculaire. Les militaires et policiers ont besoin des armes pour la défence national et civil et sa c'est parfait comme sa. Mais pour les civil ils sont un très beau sport qui, selon moi, pratique de façon considérable la concentration. L'éducation qui est aujourd'hui porté au jeunes et à la population en général sur les armes à feu et surtout au armes à autorisation restreintes est qu'ils ne servent qu'à commettre des meurtres, des hold ups, etc. Si la propagande changeait et que dans le civil et que la possession des armes à autorisation restreints deviendraient plus souple, comme il y à 30 -40 ans comme j'ai pu lire des témoignages sur ce post, ils y aurait plus de gens tenter par la pratique de ce sport et les jeunes serait plus informé sur la bonne utilisation d'armes à feu, sur le maniement sécuritaire et sur les dangers relié à celle-ci. Ce n'est pas en mettant 40 lois sur les armes que les meurtrier vont arrêter de commettre des meurtres et que les fous vont arrêter d'être fou. Même que c'est lois doivent quasiment encourager le marché noire des armes à feu par la difficulter d'obtenir un revolver légal.