Ça peut bien mal aller...Et ça va être encore pire

Belle direction que prennent les universités... Quel beau monde que ces bien-pesants vont créer.

Universités: c'est pire que pire

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Ce qui est le fun avec cette tranche de la société là, c’est que 24h sans électricité c’est tout ce que ça prend pour qu’ils s’entretuent pour un sac de pain à l’épicerie.

Y peuvent révolutionner autant qu’ils veulent, tôt ou tard l’équilibre reviens et c’est dans les extrêmes que ça fait mal.

No stress

INCROYABLE !!!!!!!!

Hey boys.... c'est un poste à l'Université d'Ottawa, déjà une université de fucké qui aime choquer et foutre la merde.  

Mais surtout, c'est de poste de professeur en sociologie et à l’École d’études féministes et de genre.

Vous vous attendez à quoi????  Un grande ouverture????

Come on, c'est un poste de professeur en pelletage de nuage et pétage de broue, qui enseignera des théories louches à des jeunes adultes en manque de modèles positifs, jeunes qui sont les premiers à décrier le superficialisme décadent des influenceurs qu'ils suivent assidument sur le net, en dénonçant le peuple de moutons colonialiste et capitaliste, en buvant leur mochassitassicassimo à 12$ dans un café...

Autrement dit, il formera de futures barista chez Starpoche pour les chanceuses ou Tim Hortons pour les autres, ou d'activistes sociales qui se plaindront toute leurs vies de manquer de subvention dans leur organismes collectivo-social aussi inutile que méconnu.

Si les cons volaient, les dirigeants de cette université seraient chefs d'escadrilles.

Comme il est en est dit oui rien de prometteur pour l,avenir ,arrivera un moment comme le dit DT ou les commoditées n.y seriont plus et la on verra la marde arriver car sans ordis et tout ce qu'on connait le monde virera a l'envers ,ceux qui s'en sortiront le mieux seront les débrouillards ,
On ne voit que les gros titres de nos jours (bien malheureusement)disons que personnellement j'aime pas mal mieux discuter et serrer la main a un gars soit disant ben ordinaire qu'a celui qui a un gros titre et tout ceci en ménageant mes mots.