MILSURP - VZ-858

Salut!
Pour clore le chapitre des armes de puissance intermédiaire datant de la guerre froide et chambrées pour la munition M-43, voici aujourd’hui un petit montage sur l’évolution logique des trois premières, les carabines semi-automatiques SKS-45 russe, Rashid égyptienne et VZ-52/57 tchèque.

Au tournant des années ’50, tous les pays signataires du Pacte de Varsovie ainsi que leurs satellites furent « invités » avec insistance à harmoniser et mettre à niveau les arsenaux de leurs armées en adoptant les systèmes d’armes du grand frère russe.

Certains, dont les Tchécoslovaques,  préférèrent développer des armes compatibles tout en gardant une certaine indépendance par rapport aux diktats de Moscou. C’est ainsi qu’après un court intermède de cinq ans, la VZ-52/57 fut reléguée à des rôles de défense civile ou d’entraînement et remplacée par une arme à tir sélectif utilisant des magasins échangeables de trente coups et beaucoup mieux adaptée aux réalités de la guerre moderne, la VZ-58.
Suite aux tests effectués par une commission militaire, les Russes durent admettre que la VZ-58 représentait « une alternative viable » supérieure à la Kalashnikov (AK-47) sur certains aspects et autorisèrent les Tchèques à en équiper leurs troupes.
Voici la version non-restreinte de cette arme, la VZ-858.

À premier abord, peu de choses différencient la VZ-858 de sa grande soeur la VZ-58.
À part un canon plus long, l'apparence extérieure est inchangée; on retrouve la même fixation de baïonnette, le même protecteur d'embout de canon, le même système de visée, la même couleur de laque cuite au four et la même crosse moulée dans un mélange de copeaux de bois et de résine thermodurcissable.
Même les magasins sont identiques si l'on excepte le rivet placé à l'arrière limitant la capacité à cinq coups. Seul le mécanisme interne a été revu pour interdire une reconversion à la version automatique.
Veuillez excuser la courroie qui n'est pas celle normalement admise mais un design ajustable que j'ai confectionné pour le tir debout.




La VZ-858 pèse 3.11kg. ou environ 6.5lbs sans magasin; c'est une arme très légère mais dont toutes les pièces sont en acier machiné! Sa répartition des masses fait penser à un bon fusil double: tout son centre de gravité se trouve entre les deux mains, ce qui permet un pointage très rapide.
Malgré des impératifs de production de standard militaire, sa finition en est très soignée.



Pour le démontage, retirer d'abord le magasin en poussant son levier de verrouillage vers l'avant. Le bouton semi-circulaire à droite du levier est le bouton permettant le verrouillage de la culasse en position ouverte.



Actionnez le bouton d'armement et vérifiez si la chambre est vide. Ensuite, tout en maintenant la culasse à l'arrière, enfoncez le bouton de blocage puis relâchez doucement la culasse qui va revenir en butée sur son verrou.

Voici la mire arrière. On distingue, vers l'avant, un bouton moleté.



Tirez sur la tête moletée de la tige de blocage.



Ceci libère l'arrière du pare-main supérieur, qui peut ensuite être pivoté vers le haut et retiré.



Voici le pare-main, qui fait aussi office de couvercle pour la tige du piston à gaz.



Tirez vers l'arrière sur la tige du piston et pivotez-le hors de son réceptacle, puis laissez-le revenir doucement vers l'avant sous l'effet de son ressort de rappel. On distingue, sous la tête du piston, l'une des deux lumières d'échappement des gaz.



L'extrémité de la tige du piston et son ressort de rappel.



Les trois composantes du système à gaz.



L'ensemble mire avant/embase de baïonnette. On distingue le manchon protecteur fileté et son bouton plongeur de blocage.



Maintenant, passons au démontage du module constitué du cache-culasse, porte-culasse et culasse.
IL faut d'abord tirer légèrement vers l'arrière le bouton d'armement pour permettre au verrou de blocage (hold-open) de retomber, puis ramener doucement le porte-culasse en batterie vers l'avant.
Ensuite, TRÈS IMPORTANT, actionnez la gâchette pour libérer la détente et permettre à son bélier d'arriver en butée avant contre le percuteur. Vous ne pourrez pas démonter le cache-culasse autrement.
Tout en poussant légèrement vers l'avant sur le cache-culasse, tirez sur l'extrémité moletée de la tige de blocage et dégagez l'arrière du cache-culasse en le soulevant.



Complétez le retrait de la pièce en tirant le tout vers l'arrière.



Vue du dessous du cache-culasse et de ses deux ressorts: le ressort du porte-culasse et celui (tressé) du bélier.



Deux vues de la détente et de son bélier en 1) position armée...



...et 2) en position relâchée (obligatoire pour le démontage et le remontage).



Pour retirer l'ensemble porte-culasse et culasse, retournez l'arme sur le dos et glissez le tout vers l'arrière.



Tirez la tige du bélier vers l'arrière pour libérer le bloc culasse et son linguet pivotant.



On voit bien ici la position du linguet et de ses appuis.



On distingue bien les surfaces du plan incliné sur le linguet et celui correspondant sur le porte-culasse.





Pour dégager le bélier du porte-culasse, tirez-le vers l'arrière en maintenant une tension dans le sens anti-horaire sur la pièce.



Rendu presque en butée, il va pivoter. Tirez-le alors hors de son logement.



On peut apercevoir le téton de blocage à l'entrée du trou du porte-culasse.



Gros-plan de la tête de culasse avec son percuteur et la face de l'extracteur.



Vue de la culasse et de son linguet en position d'ouverture.



Vues de la culasse et de son linguet en position de verrouillage.



Et voilà! Je n'ai pas tout encore photographié mais cela donne une bonne idée de la simplicité d'entretien et de la robustesse de cette arme. Il me reste la baïonnette, le magasin et le kit de nettoyage à illustrer, ça viendra sous peu.
Bien entendu, le remontage s'effectue en ordre inverse.
Ne pas oublier de pousser le bélier à fond en relâchant la détente pour pouvoir réinsérer les deux ressorts principaux dans leurs logements.
À la prochaine!

PP.

Merci encore PP
Je me considère chanceux d'avoir une formation intéressante comme ça et en plus, donné par un passionné

Merci PP
Toujours un grand plaisir que de te lire en ouvrant l'ordinateur et en prenant son café matinal et apprendre sur une arme que je découvre en lisant tes lignes.

Faut croire que les tchèques ont depuis longtemps mis en application la récupération et la transformation des copeaux de bois pour en produire des crosses. J'imagine qu'une pénurie de matière première ou l'accès au bois naturel était limité sur une base locale, les ont poussé vers cette alternative économique de transformation du bois.

Surprenant qu'ils n'aient pas produit cette composante en caoutchouc, les tchèques ont depuis longtemps été experts dans la transformation de cette matière première en fabriquant des produits de qualité.

C'est la première fois que je vois un photo rapprochée de ces crosses.
C'est différent comme apparence.
Est-ce que la région aurait commencé à manquer de noyer?

Buffalo a écrit:

C'est la première fois que je vois un photo rapprochée de ces crosses.
C'est différent comme apparence.
Est-ce que la région aurait commencé à manquer de noyer?

J'avoue que j'ai eu exactement cette même impression. Faut aussi comprendre que dans les pays communistes de l'époque, la qualité/fiabilité du fonctionnel l'emporte sur le luxe de l'apparence esthétique.
Une mécanique de Mercedes sur un body de Lada c'est pas grave, en autant que sa tire bien.

Bonjour PP

Merci beaucoup. C'est un plaisir de te lire et de regarder ces photos.

J'ai lu tes lignes avec grand intéret. Tu as bien fait commencer ma journée.

Serge J a écrit:

Merci PP
Toujours un grand plaisir que de te lire en ouvrant l'ordinateur et en prenant son café matinal et apprendre sur une arme que je découvre en lisant tes lignes.

Faut croire que les tchèques ont depuis longtemps mis en application la récupération et la transformation des copeaux de bois pour en produire des crosses. J'imagine qu'une pénurie de matière première ou l'accès au bois naturel était limité sur une base locale, les ont poussé vers cette alternative économique de transformation du bois.

Surprenant qu'ils n'aient pas produit cette composante en caoutchouc, les tchèques ont depuis longtemps été experts dans la transformation de cette matière première en fabriquant des produits de qualité.

La raison en est l'économie et la ressource inépuisable que constituent les copeaux de bois.
La Tchécoslovaquie est largement pourvue en forêts; les copeaux sont faciles à obtenir en grandes quantités.
La résine thermodurcissable est aussi peu coûteuse par rapport au caoutchouc, matière stratégique et importée.
L'argument temps de production a aussi joué:il faut seulement quelques minutes pour mouler et cuire une crosse en composite parfaitement ajustée par rapport à quelques heures pour la même crosse en bois.
De plus, une crosse en bois nécessite des soins réguliers; celle-là, rien. Le calcul était facile!
Pensez-y: c'était, à l'époque, l'une des premières utilisations en grande échelle d'une technique moderne, celle des matériaux composites, bien avant le M-16 des Américains.
PP.

Pensez-y: c'était, à l'époque, l'une des premières utilisations en grande échelle d'une technique moderne, celle des matériaux composites

J'comprend donc qu'ils étaient à l'avant-garde!
Ils doivent avoir un secret industriel bien gardé pour ce procédé technologique.

Peut-être l'ai-je immédiatement associé à certains matériaux actuels. Moi la simple vue d'un panneau d'aspenite me rend malade si il n'est pas immédiatement protégé par une peinture ou autre revêtement protecteur.
Pour ce qui est de la mélamine.... Ce mot me fait dresser les poils de bras. Une autre belle cochonnerie pour les bricoleurs dont on a plus le choix de nous servir. Une égratignure, de l'eau et voilà ton panneau qui triple de volume et est totalement scrap.

Je comprends ton point de vue Serge, mais il y a loin du panneau d'Aspenite à cette génération de composites.
Le copeau de bois dur apporte du remplissage et de la légèreté. Ce sont aussi des fibres ordonnées qui confèrent une résistance au craquage de la masse de résine, un peu comme le "roving" de fibre de verre dans les canots.
Si tu essayes de casser au marteau une crosse de VZ-58, tu vas avoir une grosse surprise: ça va rebondir, point à la ligne et tu n'auras qu'une petite trace sur la surface. C'est extrêmement solide, même si ça ressemble à du vomi de castor un lendemain de brosse!
Et puis, comme la surface n'est pas lisse, du aux copeaux, ça ne réfléchit pas autant la lumière, un autre avantage.
De plus, tu peux peindre le plastique très facilement ou, dans le cas d'une série différente, il suffit de teinter la résine dans la masse avant cuisson et hop! camouflage...
C'est tout bon.

Ah, oui! j'oubliais: aussi, quand je vois, sur les forums, de pauvres gars qui s'évertuent à se "gosser" des crosses en bois "à la AK-47", je rigole! Pourquoi vouloir défigurer une arme dont l'ergonomie est presque parfaite pour la faire ressembler à un AK, avec une poignée dont personne ne voudrait même pas sur une lime ?
Et puis, c'est quoi cette mystique du AK-47? les tests ont bien démontré que la VZ-58 groupe beaucoup mieux que le AK et est au moins aussi robuste.
C'est d'ailleurs pourquoi les Russes ont autorisé, du bout des lèvres, les Tchèques à garder leurs armes...
Non, je serai bien content de posséder une AK fonctionnelle dans ma collection mais pour péter des oranges à 100 mètres, je préfère, et de loin, ma VZ.
PP.

qu'elle arme !

depuis que je la possede ,je m'amuse comme un petit foux avec !

bien fait ,solide , belle finition, mecanisme fiable , piece aftermarket , démontage rapide et facile pour nettoyer et pas mal précis .

j'adore quand je relache le bolt l'ors d'un changement de magasin '' CLING''

merci ''PP'' pour cette lecon d'histoire .

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Buffalo a écrit:

C'est la première fois que je vois un photo rapprochée de ces crosses.
C'est différent comme apparence.
Est-ce que la région aurait commencé à manquer de noyer?

LA QUESTION, EN 1958, ÉTAIT: "POURQUOI DÉPENSER DE L'ARGENT POUR METTRE DU NOYER SUR DES ARMES MILITAIRES?"
PP.

Je n'avais jamais vu de commentaires sur la résistance et la durabilité de ce matériau.
C'est vrai que d'un point de vue industriel et économique, le choix était facile.

Quel beau post, toujours un plaisir de te lire et de te relire.

Oublier de dire, quelle qualité de photo! Travail de pro!

LA QUESTION, EN 1958, ÉTAIT: "POURQUOI DÉPENSER DE L'ARGENT POUR METTRE DU NOYER SUR DES ARMES MILITAIRES?"
PP.

En plein ce que je disais dans un message précédent, d'autant plus qu'ils avaient maintenant une technologie moderne et prouvée pour les fabriquer ainsi.

C'était la philosophie et vision du communisme moderne. On fabrique du "Solide, durable, pratique, économique, uniforme". Le luxe, la fantaisie et la couleur c'est pour les "capitalistes". Avec le Noyer on peut chauffer les maisons du peuple, avec les branches on fait des copeaux de bois, pas de gaspille.

J'ai deja refusé un vz 58 pour 400 $$$ avec canon chromé etc je le regrette amerment.

wyatt earp(rover) a écrit:

Quel beau post, toujours un plaisir de te lire et de te relire.

Oublier de dire, quelle qualité de photo! Travail de pro!

Non, non! Je les fais sur mon lit dans ma chambre avec un flash à travers une ombrelle translucide et un flash hors-caméra relié en TTL-BL par un cable. Ça ne travaille pas parfaitement vu le manque de stabilité du support mais, bon, ça fait l'affaire si on est pressé.
Si je voulais faire du travail de pro, je me ferais un setup à au-moins trois sources avec soft-box, ombrelles et réflecteurs sur une table de pose. Du "Beauty Shot" en quelque sorte. Une pleine journée pour les prises de vues, au-moins...
Là, vous pourriez capoter sur les photos toutes impeccables avec de la profondeur de champ et des hautes lumières bien contrôlées.
Un de ces matins, je vous en ferai un comme ça, juste pour me faire plaisir, eh-eh!
PP.

Serge J a écrit:

LA QUESTION, EN 1958, ÉTAIT: "POURQUOI DÉPENSER DE L'ARGENT POUR METTRE DU NOYER SUR DES ARMES MILITAIRES?"
PP.

Avec le Noyer on peut chauffer les maisons du peuple, avec les branches on fait des copeaux de bois, pas de gaspille.

Oh, les communistes sont encore plus pratiques que ça maintenant,; ils ont appris à l'école des Kapitalistes.
Le noyer, on le brûle pas, on le vend, très cher, aux capitalistes qui en veulent pour leurs belles crosses qualité showroom!
Et avec l'argent, on se paye des fournaises à gaz!
Tu sais combien se vend une planche qualité "Exhibition Grade" dans du noyer du Caucase ou Turc aujourd'hui? la peau des fesses plus un rein, au moins! Quand je pense que tous les Mosin-Nagant Impériaux "English Contract" de chez Remington ou New England Westinghouse avaient tous des crosses une pièce en noyer noir, j'ai des papillons!
PP. [b]

La Tchécoslovaquie n'était-elle pas le pays du Pacte de Varsovie qui avait le plus de latitude en ce qui concerne l'équipement militaire?

Il me semble qu'elle ait adopté des modèles non-standards, tant pour les armes portatives que pour les véhicules blindés et autres.

Buffalo a écrit:

La Tchécoslovaquie n'était-elle pas le pays du Pacte de Varsovie qui avait le plus de latitude en ce qui concerne l'équipement militaire?

Il me semble qu'elle ait adopté des modèles non-standards, tant pour les armes portatives que pour les véhicules blindés et autres.

Ils ont réussi à se démarquer du "Grand Frère Soviétique" sans trop se faire mâchouiller, un peu comme la Yougoslavie, même si le petit intermède du Printemps de Prague a été réprimé assez sèchement.
C'est l'un des anciens satellites du Bloc de l'Est qui s'est le plus rapidement rallié à l'Ouest
PP.

Tu sais combien se vend une planche qualité Exhibition grade dans du noyer du Caucase ou Turc aujourd'hui?

Un bois extrêmement recherché qui ne sert presque exclusivement qu'à des armes uniques "Custom made" dont le prix frôle souvent celui d'une hypothèque de maison.
L'ébéniste prend grand soin d'étudier sa pièce brute avant la découpe et s'arrange pour avoir le moins de perte possible.
La crosse faite de ce bois va de pair avec le reste de l'arme qui est une oeuvre d'art unique dans son ensemble.

Crosse en Noyer Turc par un armurier Canadien (+$5,000)








Autre oeuvre d'art:

C'est-tu assez beau ça.

C'est ça que j'aime du secteur "Hors Sujet/Other Subjects" de Extrême Précision: on enchaîne avec bonheur d'un truc à l'autre pour se retrouver parfois encore plus "pas rap' "que la minute d'avant, mais avec quel plaisir!
D'ailleurs, je soutiens avec insistance que ce secteur devrait s'appeler dorénavant "Extrême Disgression".

PP.

PerversPépère a écrit:

C'est ça que j'aime du secteur "Hors Sujet/Other Subjects" de Extrême Précision: on enchaîne avec bonheur d'un truc à l'autre pour se retrouver parfois encore plus "pas rap' "que la minute d'avant, mais avec quel plaisir!
D'ailleurs, je soutiens avec insistance que ce secteur devrait s'appeler dorénavant "Extrême Disgression".
PP.

Oups!
Désolé, je me sens responsable de ce léger dérapage involntaire, de la crosse Tchèque on est passé à la philosophie communiste, puis au bois de collection pour aboutir au Noyer turc. La discussion aurait également pu dévier vers le tournant historique du Printemps de Prague en 68. Mais bon, disons qu'une seule ligne peut parfois faire dévier facilement une discussion.
Méa Culpa.

Serge J a écrit:

PerversPépère a écrit:

C'est ça que j'aime du secteur "Hors Sujet/Other Subjects" de Extrême Précision: on enchaîne avec bonheur d'un truc à l'autre pour se retrouver parfois encore plus "pas rap' "que la minute d'avant, mais avec quel plaisir!
D'ailleurs, je soutiens avec insistance que ce secteur devrait s'appeler dorénavant "Extrême Disgression".
PP.

Oups!
Désolé, je me sens responsable de ce léger dérapage involntaire, de la crosse Tchèque on est passé à la philosophie communiste, puis au bois de collection pour aboutir au Noyer turc. La discussion aurait également pu dévier vers le tournant historique du Printemps de Prague en 68. Mais bon, disons qu'une seule ligne peut parfois faire dévier facilement une discussion.
Méa Culpa.

Mais sûrement pas! Non, la grande qualité de ce secteur, c'est de permettre justement ce genre d'apartés, souvent instructifs et toujours... récréatifs, eh-eh!
On continue comme ça!
PP.

la grande qualité de ce secteur, c'est de permettre justement ce genre d'apartés, souvent instructifs et toujours... récréatifs, eh-eh!
On continue comme ça!
PP.



Vrai que c'était tôt dans la journée et qu'on était encore au café, l'avoir su on aurait pu facilement dévier la discussion vers la bière tchèque Lol!