Ces histoires sont toujours tristes, bien sûr.
D'un autre côté, cela est effectivement conforme aux lois en place. Notamment les articles 10 et 16 du CcQ.
Le caractère inviolable de la personne.
En bout de ligne, tant qu'un juge n'a pas ordonné un soin (ou que la vie de la personne est immédiatement en danger -et, à ce moment, elle est à l'urgence...pas chez elle dans le fond d'un rang-) rien ne peut se donner comme soin, y compris si on parle d'une personne inapte.
C'est le «mauvais côté» de l'inviolabilité de la personne...mais il y a beaucoup plus de «bons» côtés.
En bout de ligne, je suis d'avis que c'est d'abord aux proches à se débattre, oui, à se débattre...à faire l'impossible...pour un parent...et non le réflexe conditionné de se demander ce que l'État pourrait faire.