Cadeau Pour les futurs couteliers en herbe....ou autres,

ou qui se lancent.. plutôt que de faire un mail à chacun  je vous mets ici toutes les infos dont je dispose  pour ce qui est des BASES, il n'y aura rien (ou très ) peu de pointu, rien de figé, juste des bases et des méthodes..... le reste étant affaires de tests, essais, d'individus.
Je viendrais par ici régulièrement vous mettre des documents le plus souvent des copier /coller de mes fichiers et des jpeg pour que vous puissiez les récupérer et en faire votre base de données... cette base de données c'est 17 années de discussions, de recherche avec les copains. certains documents seront l'oeuvre d'amis et d'autres couteliers dont je mettrai les initiales avec mes remerciements...

Tout comme eux je transmets le peu que je sais, sans contre partie, à vous de le faire fructifier, de l'enrichir et de le transmettre...

Bon début, bonne forge, bon amusement

1/ Acier « courant » « facile à trouver »

* Lame de ressort de camion

* Fer à tirant (ressemble à du fer à béton, mais sur lequel on peut visser un écrou

* Acier de roulement ( type 100C6)

* Ressort de voiture (à couper à la disqueuse et redresser à la forge)

* XC75

* Limes


2/ « LEXIQUE »


Forger : chauffer le morceau de fer et le mettre en forme, le plus proche possible de la forme désirée.

Normalisation : Chauffer à température de trempe et refroidir en « balançant » la lame dans l’air jusqu'a 700 degré. Recommencer 3 fois

Recuit : Chauffer juste à température de trempe et laisser refroidir dans de la VERMICULITE ou dans de la CENDRE, ou dans sa forge après l’avoir fermé. Ou comme le dise les sources de Mr PLAZEN ;  « MAIS si l'on souhaite que les grains de ferrite et de perlite soient le plus petits possibles ,on aura intérêt à réaliser le refroidissement le plus rapide possible(en évitant la formation de bainite).EN EFFET,DANS LE DOMAINE DE FORMATION DE CES STRUCTURES,LA GROSSEUR DES GRAINS DE FERRITE ET DE PERLITE AUGMENTE QUAND LA VITESSE DE REFROIDISSEMENT DIMINUE ».

Usinage : passage au backstand, à la ponceuse, disqueuse ou à la main, jusqu’à la forme finie ; il ne doit rester que le tranchant à faire (laisser donc 1 à 2 mm pour ne pas le décarburer).

Trempe : Faire chauffer jusqu’à température de trempe, puis plonger la lame dans de l’huile ménagère chaude(60° mini), de l’eau (nature, avec du liquide vaisselle) ou du GOOP (paraffine 30%, végétaline 70%).

Revenu : Au four de cuisine, à 200°/230° C. (392 F./446 F.) pendant 1h, laisser la lame refroidir dans le four arrêté. A faire 2 fois.

Tranchant : finir la lame au backstand, à la lime, à la pierre à aiguiser………..en faisant attention de ne pas la brûler.

La température de trempe peut s’approcher simplement en faisant le test de l’aimant, et en s ‘aidant du tableau des couleurs


3/ PAS A PAS


L'acier : L'acier est un mélange de fer et de carbone plus quelques autres métaux qui lui confèrent des propriétés particulières.
La caractéristique élémentaire d'un acier est son taux de carbone. Ce taux de carbone conditionnera la dureté du métal.

Le fer utilisé couramment est en fait généralement un acier avec un taux de carbone inférieur à 0,25 %, donc pas trempable. Pour répondre de suite à une question habituelle le fer à béton utilisé pour être un renforts dans la masse du béton n'est généralement pas trempable. Il existe des aciers, qui ressemblent a des fers à béton utilisés comme pas de vis pour tenir des coffrages les fers à tirant), qui eux sont trempables.

Pour faire un couteau on essaiera de choisir un métal ayant de bonnes propriétés de tenue du tranchant et pas trop cassant pour un usage ordinaire. En général au début on utilise des aciers de récupération, vieille lime, morceaux de ressort d'amortisseurs, bref tout ce qui a l'air plus dur que du fer ordinaire dans notre quotidien.

Les caractéristiques des aciers, les généralités , et les choses précises à connaître pullulent le sur le net

Maintenant que vous avez choisi un morceau d'acier pour commencer votre couteau, il va vous falloir quelques outils de base pour forger :

-- quelque chose pour taper
-- quelque chose sur quoi taper
-- quelque chose pour chauffer
-- quelques outils annexes

nous partons de la supposition que vous désirez forger votre couteau, si vous désirez créer des couteaux par enlèvement de matière (stock removal), vous pouvez sauter ces étapes .

Quelque chose pour taper : ben, en général on utilise simplement un marteau, il existe beaucoup de marteaux de forge, mais n'importe quel marteau peut faire l'affaire, il est souhaitable d'avoir un marteau légèrement bombé , avec des bords adoucis, bien sûr du côté de sa surface de frappe, ce qui évite de laisser des marques sur la pièce que l'on travaille. Le morceau de métal sur lequel on sévit est appelé lopin, ou, quand il s'agit d'un empilement d'acier ou autres métaux, pour faire du Damas, ça s'appelle une trousse . Les marteaux courants pèsent entre 1 et 1,5 kilo.

Quelque chose sur quoi taper : si vous avez la possibilité d'utiliser une enclume c'est parfait. Cependant, comme elles sont coûteuses, il est souvent nécessaire d'utiliser autre chose avant de trouver la bonne occase. Un des ersatz les plus répandus est le morceau de rail de chemin de fer mais vous pouvez utiliser à peu près n'importe quoi de dur et lourd. Pour le choix d'une enclume, certains parlent de proportion entre le poids du marteau et celui de l'enclume (30 fois,50 fois...). Cependant la proportion la plus utilisée est celle de la taille du portefeuille, mais on peut dire qu'une enclume moyenne est une enclume de 80 kilos .
Sous votre enclume vous aurez généralement un support appelé billot, comme c'est parfois difficile à trouver, beaucoup se font aussi des supports en métal, ou à l'aide de tronçons de bois assemblés. Pour diminuer le bruit, et les propagations de vibrations, on peut poser son enclume dans un bac à sable, ou lui coller des aimants.

Quelque chose pour chauffer : pour chauffer le métal à forger, on utilise une forge ! La, le choix se fait entre une forge à gaz (FAG), et une forge à charbon (FAC). Pour construire l'une ou l'autre cherchez sur le forum, vous trouverez des schémas des explications, les explications des explications des objections, tout ce qui est nécessaire pour apprendre à fabriquer quelque chose d'utilisable, à peu de frais.

Quelques outils annexes : il vous faudra, bien sûr, une paire de pinces, des gants, des lunettes de protection, un tablier ou une blouse qui ne prenne pas feu facilement. Pensez à vous protéger, il est toujours préférable d'avoir l'air d'un âne
sapé comme un cosmonaute dans votre garage, que d'un gros malin aux urgences à l'hôpital.

Une fois que vous aurez réuni ces éléments de base, vous allez pouvoir commencer à travailler.

Vous allez donc chauffer votre métal puis taper dessus pour lui donner la forme de votre futur couteau.
Évitez de surchauffer votre métal , la bonne couleur de forge est rouge voir rouge-orangé mais pas jaune vif ou blanc.
Si vous surchauffez votre acier, cela fera grossir son grain, le rendant plus cassant.

Une fois que vous aurez atteint la forme souhaitée, vous pourrez pratiquer un recuit de votre lame. Le recuit consiste à chauffer votre lame à sa température de trempe, et à la laisser refroidir lentement, soit dans la forge fermant l'ouverture si c'est une forge à gaz (éteinte), soit dans de la cendre soit dans de la vermiculite, etc. le but est de supprimer les contraintes internes de votre métal que vous aurez créé en le déformant. Il est souhaitable de pratiquer un recuit à chaque fois que l'on estime avoir créé beaucoup de déformations importantes dans le métal.

Si la forme de votre lame est proche de sa forme définitive, vous pouvez tremper votre métal. Cependant, il est souvent nécessaire, quand on désire faire un couteau qui ne soit pas brut de forge, de travailler encore sa lame avec des abrasifs avant la trempe. Les abrasifs sont tout ce que vous connaissez ou qui peut bien exister dans le domaine du métal : lime, meuleuse, papier abrasif, ponceuse, disque à lamelles sur perceuse, backstand (un "backstand" est une ponceuse a bande stationnaire utilisant des bandes abrasives longues généralement de 200 x 50 cm).

Quand votre couteau se rapproche enfin de sa forme définitive, en prenant soin de laisser une épaisseur minimum de 1 à 1.5 mm au niveau du tranchant, pour éviter qu'ils se décarbure durant la chauffe précédant la trempe, vous effectuez une normalisation, pour réduire la taille du grain de l’acier puis à l’issue seulement vous allez entreprendre de tremper votre lame. Tremper une lame consiste à l'amener à une température élevée et à la refroidir brutalement. La température dépend des aciers, un repère pifométrique efficace est d'amener sa lame à une température où elle n'est plus aimantable. La méthode est de pendre un aimant au bout d'une ficelle, et d'approcher la lame pour voir si elle attire l'aimant, ou pas. On trempe alors la lame.
Faites vos trempes expérimentales dans de l'huile végétale, comme de l'ancienne huile de friture, huile de colza, d'olive (PAS d'huile de vidange) préchauffée à environ 60°, ça sera un bon début. Faites gaffe, souvent l'huile prend feu, ce qui n'est pas grave car, bien sûr, vous travaillez à l'extérieur, avec rien d'inflammable à portée...

Une fois votre lame trempée il faudra effectuer des revenus. Il s'agit, un peu comme pour le recuit, de supprimer les tensions internes de l'acier, du moins partiellement. Quand votre lame vient d'être trempée, les tensions internes sont au maximum, sa dureté mais aussi sa fragilité sont très élevées. Le revenu, consistant à chauffer votre lame au four de cuisine, pendant plus ou mois une heure à 200°C. (392 F.), deux ou trois fois, relâchera partiellement ses tensions rendant votre lame légèrement moins dure mais surtout beaucoup moins cassante. un tableau des Traitements Thermiques viendra un jour ....

Vous pourrez alors entreprendre la finition de votre lame, terminer votre tranchant ... Polir...

WOW merci!

Super, xXx!

Je me suis permis d'effectuer les conversions Celsius/Farenheit pour nous, les Québécois.
PP.

PerversPépère a écrit:

Super, xXx!

Je me suis permis d'effectuer les conversions Celsius/Farenheit pour nous, les Québécois.
PP.

Ben fait à volonté alors ....

J'ai toujours été fasciné par les travaux de forge. Peut-être un de mes lointains ancêtres l'était-il (mon nom de famille est très commun en Catalogne et fait référence au métier de forgeron).
J'avais des copains qui s'étaient lancés dans la forge d'art en louant l'ancienne forge de la compagnie de papier Wayagamak, à Trois-Rivières. Le bâtiment était situé sur l'île Saint-Quentin.
Ça s'appelait les Forges de la Salamandre et c'était un bonheur pour moi d'aller les voir. Certaines mésententes au sein du groupe et des ennuis avec le propriétaire des lieux ont eu raison d'eux mais c'était vraiment un endroit de culte pour les amoureux de la belle forge.

Si quelqu'un veut te faire un cadeau à Noël, je lui suggère de t'envoyer un beau morceau de Damas déjà pré-forgé pour que tu puisse en tirer une lame et nous la montrer ici par la suite.
PP.

M'offrir un barreau de Damas....... je vais être très honnête, vu le tarif ( si achat) ou le boulot (si fait maison) pour ce genre de chose, je serai très très mal à l'aise de recevoir un cadeau pareil....

Et à "3 rivières" un ami de longtemps y est installé comme coutelier.. j'y ferai un passage "obligatoire" si mon road trip Canadien se fait l'année prochaine..... mais la priorité des dépenses du budget c'est l’amélioration de la maison et la réfection des joints extérieurs... .

Merci pour les infos!

Un de mes projets de retraite est de prendre des cours à l'atelier des Forges de Montréal.
Du moins, faire le cours "Initiation à la forge" et voir comment mon arthrose tolère ça...

merci beaucoup XXX

Wow ,merci de ta générosité.

Merci très intéressant

on a parlé " aciers de récupération", alors voilà de quoi avoir une petite idée de "c'est quoi comme nuance d'acier" :


Donc un petit tableau pour apprendre à différencier les aciers à la disqueuse et au étincelles (Formes ET Couleurs)




Comment les souder si nécessaire (tableau de safety-welding)




Et un tableau avec la "référence" de la nuance des aciers de récupération ( différentes sources citées dans le jpeg lui même)




voilà pour aujourd'hui

Bon  FORGER, c'est quoi concrètement:

La forge d'un couteau, c'est partir d'un morceau d'acier brute pour en faire un outil efficient, pour cela il  a bien entendu des "règles" à connaitre et des protocoles immuables.

Chauffer un morceau de métal le rend plus "mou" sous le marteau, et donc plus facile à transformer, mais trop chaud, sa structure va se fragiliser, trop froid il va casser.
Pour cela  chaque acier à SA plage de température de forge, de normalisation , de recuit, de trempe de revenu.....

Il est  donc nécessaire de les connaitre pour travailler au  mieux .  Le net permet de trouver cela assez facilement, et si achat d'acier spécifique une fiche technique doit être fournie...

Donc c'est parti, on chauffe ( à la bonne température) , on tape (fort au début pour déplacer beaucoup de matière) , on chauffe, on tape, on chauffe ( de moins en moins longtemps) et on tape ( de moins en moins fort au fur et à mesure que l'on arrive à la forme définitive).....

On essai de compter ses coups de marteaux pour avoir le même nombre de chaque côté, pour "équilibrer" les déformations faites à l'acier et centrer son tranchant, et ce jusqu' à la forme finale désiré, ou au plus près .....




Ensuite dans le lexique nous avons vu également  le mot "NORMALISATION",  c'est une étape importante et incontournable de la fabrication d'un couteau ET A FAIRE immédiatement après la forge, avant d'éteindre la forge.

Lorsque l'on chauffe (de trop) pour forger la structure de l'acier, son grain, grossi. Plus le grain et gros plus la lame est fragile ( bad heat control sur la photo de dessous).... les Normalisations servent à rendre ce grain plus fin et donc a renforcer la solidité de la lame.

Pour ce faire il faut amener la lame à température de trempe ( différente pour chaque nuance d'acier) et la faire refroidir rapidement, soit avec des grands mouvements de balancier, soit devant un ventilateur ...
cette opération est à faire 3 fois , au delà il n'ya plus de modification "nécessaire" on dira....





suit un tableau avec les TTH (traitements Thermiques) des aciers les plus couramment utilisés par ici:




ce tableau vous le retrouverez à chaque fois que l'on parlera de Température (forge, recuit, revenu, trempe).



Une fois ces normalisations finies, on pose la lame dans la forge a gaz, ou on la plonge dans la cendre( la vermiculite) et on la laisse refroidir très lentement jusqu'au lendemain..... c'est le RECUIT ( dit aussi , RECUIT de DETENTE).



Bonne journée

Assez complet comme information. Merci. Les couteaux c'est dans ma liste des to do thing

tonyboy a écrit:

Assez complet comme information.  Merci.

De rien, de la part de quelqu'un qui maîtrise déjà c'est sympa.

Bonjour,

fin de mise en forme de la lame à la main, à la ponceuse, au backstand, peu importe.... cette étape doit amener la lame à sa forme finie, il ne doit rester au tranchant qu'1 à 1.5 mm pour avoir un peu de matière avant la trempe.


La trempe: Elle peut être intégrale ou sélective.....

Integrale : on chauffe la lame jusqu'à sa température de trempe, et on la plonge dans un milieu de trempe... celui ci peut être :

du goop ((1/3 de parafine + 2/3 de vegetaline ( huile à frite)): version solide qui se liquéfie au contact de la lame


de l'huile végétale , olive, arachide, etc

de l'huile de trempe  vendue dans les boutiques spécialisées

de l'eau

de l'eau salée


Sélective, plusieurs façons de faire :

en entourant la partie que l'on ne veux pas tremper d'une gange d'argile ou de mastic réfractaire

en ne chauffant que le tranchant ( au chalumeau par exemple)et en plongeant toute la lame

en chauffant la lame et en ne plongeant QUE le tranchant à plat dans un bac avec peu de milieu de trempe


Le milieu de trempe DÉPEND  de la nuance d'acier, mais de mes expériences TOUS les aciers se trempent à l'HUILE, MAIS  PAS TOUS se trempent à l'eau...

le résultat d'un acier qui se trempe à l'huile et que l'on trempe à l'eau, dans 99% des cas c'est une lame  qui se casse.


Pour la trempe, on laisse la lame dans son milieu jusqu'à refroidissement, puis on essuie et on passe un coup de papier de verre, puis un petit coup de lime pour "vérifier" si la trempe à prise comme il faut, le son doit être plus "métallique/aigu" que sur les parties non trempées...même si on le voit assez bien à l’œil...( si je retrouve je mettrai une phot d'une lame en sortie de trempe).

Ensuite et dans la foulée il faut faire le revenu....

Alors la trempe augmente la dureté de la lame, et le revenu la diminue, pourquoi faire ça alors.... IL faut savoir que plus le tranchant est dur, plus la coupe sera bonne et durera longtemps, mais sera très fragile ( comme du verre), moins la lame est dure moins elle coupe aussi bien et moins longtemps, DONC tout est une question d'utilisation du couteau et de compromis... on ne cherchera pas la même dureté pour un campknife que pour un couteau à légume.... pas la même pour un pliant que pour une machette bien évidemment.... d'ou la nécessité de bien connaitre le TTH des aciers et la destination de l'outil.....

Ce revenu peut être fait de 2 manières, à la forge et au four...

A la forge, directement à la flamme, ou en posant le dos de la lame sur un bloc chauffé au rouge... la couleur à atteindre est le jaune paille (entre 200 et 230°) par exemple ( et le plus souvent pour beaucoup d'acier...

Au four (de cuisine aussi) on programme entre 190 et ..... pendant 45 min à 1h30, 1 à 2 fois selon l'outil...

Une fois tous les TTH terminé, et bien on retourne finir le polissage,, le manche, affûter et faire les pyjama.....

voila un tableau des couleur de forge, SON problème principal est la vison de la couleur sur CHAQUE PC, donc celui ci est à titre informatif, mais il donne une vrai bonne idée.....

quelques infos sur les types de lames :








Merci aux copains pour leur travail....

Allez pour finir je voudrais vous mettre un PDF, mais je fais comment????
un coup de main SVP

MERCIIIIIIIIIIIIIIII bien

Il n’y A que moi qui peux mettre un pdf.

Je penses à déplacer ce message dans trucs et conseil, et lui faire l’honneur de postittifier!

Cet art, car s’en est un, est la parfaite alliance entre la science et la force physique.

Bleu9mm

X2
PP.

gunguru +1000000000000

je pensais à ça pour 2018
enfin, commencer à trouver le matos pour débuter
l'émission qui passe en ce moment m'a donné envie,je ne connaissais pas plus le truc,mais ça m'a filer l'envie
d'ailleurs à ce propos XXX un topic sur le matériel serait sympa
obligatoire
inutile
gadget etc...
type de forge moderne vs traditionnel

en gros jase nous ça comme si on était autour de ta forge avec toi

Pour les fans de forge, je suggère le channel d'Alec Steele sur YouTube, je le trouve très divertissant et il fait de beau projets.