Un ''beau'' texte

Je viens d'ouvrir mon ordi et voici ce que j'ai trouvé sur ma page d'accueil.

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Ça vient du Soleil, un ''merveilleux'' journal (feuille de chou) de Martin Cauchon.

Le viens de corriger son texte:

La simple présence d’un métro dans une ville multiplierait par cinq le risque qu’un des habitants commette l’irréparable.

C'est n'importe quoi.
Lorsque la décision est prise, RIEN n'arrêtera le personne qui veut mettre un terme à sa vie.
J'ai vu plus de suicides par pendaison et arme blanche que par arme-à-feu.
Encore une fois, des ressources pour traiter la maladie mentale devraient être débloquées plutôt qu'éclairer un pont ($40.000.000.00) ou donner 1,4 milliard de $ de nos sous, par année, pour 10 ans = 14 milliards, aux femmes du monde entier.

14 milliards de $, personne n'imagine ce que c'est.
14.000 millions de $ aussi.
Peut-être 14.000.000.00 de billets de $1000.00 dirait quelque chose au peuple payeur de taxes....et encore pas sûr.

En vertu de quoi l'idiot du village s'est permis de promettre un tel pactole ?

+1 Dan.

Le bout que j'aime c'est lorsque le texte parle de la centaine de suicide par arme. malheureusement, il y a plus de 3000 suicide au Québec chaque année.

Depuis bientôt 30 ans des évènements de Poly, des millions, des millions, des millions de fonds publics dépensés pour des millions de promesses. Absolument rien à date va prouver et confirmer la validité et le bon fonctionnement d'un registre.

Des millions et des millions engloutis pour ''Zero'' résultat qui auraient pu être investis en santé, en éducation, ou simplement en une saine gestion des dépenses publiques.

C'est typique au Québec de sombrer facilement dans la démesure et de valoriser une perte à l'extrême. S'en suivent des décisions dont le coût n'a plus d'importance et qui trop souvent dépasse le raisonnable. On a malheureusement cette immense difficulté à gérer adéquatement l'émotion et le rationnel.

Pendant ce temps des politiciens gagnent des votes, des organismes et savants spécialistes dont l'existence est parfois très discutable s'en mettent plein les poches.