Armes de guerre

Au temps des guerres passées ,tout juste comme ca ,un gars a la premiere guerre ou a la deuxieme guerre qui étais gaucher avait un maudit handicap versus la perte de temps de recharger face a un ennemie avec une Lee Enfield en main.

Ça dépend:

Un gaucher avec une bolt action droitière qui sait ce qu'il fait a l'option d'armer avec la droite, donc sa main de support. A l'opposé du droitier qui brise sa grip chaque fois parce qu'il reload avec sa main forte.

Y a moyen d'être vraiment rapide avec une carabine à verrou du côté opposé.

À 10 ,20 50 millions de mort gaucher droitier ya plus vraiment de différence les masses de soldats engager dans les conflit modernes étais tellement importante que sa change pas grand chose... Souvent il avais eu le temp d'avoir eu un certain entraînement pour apprendre à casser leur abitude de gaucher et en temp de guerre totale bhen sa changais plus grand chose

Pas mal sur que sur le front de l'est quand tout ta famille pis ton village a été exterminer pis ta un mosin nagant dans les main droitier ou gaucher tu fesais de ton mieu ... Pis faut pas oublié qu'il y a pas juste des Bolt action non plus la ... Il y a des semi auto des pistolet mitrailleur des lmg etc... Donc je pensse pas que sur la masse de soldat et les diverses arme sa sois vraiment un problème et si c'étais un problème sa l'étais pas trop longtemps .... Il faut imaginer la grosseur et l'ampleur des bataille

Des parents qui étaient gauchers de naissance on été OBLIGÉS d'apprendre à écrire de la droite à l'élémentaire à l'époque. Peut être que c'était la même chose pour les armes, surtout qu'à la guerre c'était surement une question de survie!

Les armées de l'époque ne faisaient pas d’accommodement pour les gauchers. Dans l'armée, tu étais droitier, that's all.

Buffalo a écrit:

Les armées de l'époque ne faisaient pas d’accommodement pour les gauchers.  Dans l'armée, tu étais droitier, that's all.

On peut ajouter qu'ils se foutaient aussi du poids de l'arme et du confort (si on peut dire) qu'elle procurait. Trop lourd, trop puissant, les épaules en bouillies ils s'en foutaient. Le soldat est là pour pas se plaindre.