- DT741 a écrit:
- Quand tes convictions personnelles débordent dans tes ouvrages….
(...)Ça commencé tranquillement avec cheval/chevaux qu’on a toléré CHEVALS. On avait déjà le problème des analphabètes fonctionnels et on avait pas besoin d’une gagne qui écrit selon ses états d’âmes ca*****. C’est quoi le next ? On accepte que les points sur les i deviennent des coeurs/étoiles/bonhomme sourire ? (...)
Ben... Ma femme et moi utilisons souvent "chevals" ?
Bon. D'accord... C'est parce que notre interlocutrice habituelle semble intellectuellement un peu limitée
(Venty dite "Grosse Truffe", berger du Caucase de 65kg). Elle a d'autant plus de mal à comprendre que "chevaux" est le pluriel de "cheval". Mais je ne lui en veux pas trop, le français n'étant pas sa langue maternelle (
d'origine russe, elle est née en Roumanie)
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Pour avoir un peu enseigné dans des écoles de commerce, je crains que cette écriture inclusive ne porte en germe le risque d'une baisse de niveau. Il est tellement difficile de comprendre ce qui est écrit, que suivre le raisonnement (
censé ) être développé devient quasiment impossible !
Je soupçonne que cela évite de plus de se faire sabrer par le correcteur lorsque l'étudiant "cause la france" et n'a aucune idée des notions de grammaire, orthographe et syntaxe...
La "bonne" solution me paraît de faire à ces pauvre âmes persécutées que la langue française n'utilise pas la masculin afin de marquer sa supériorité. Mais tout simplement parce qu'il de ce que l'on appelle le "masculin-neutre" (
héritier du genre "neutre" latin, et dont le pluriel a PRECISEMENT POUR BUT DE NEUTRALISER LES GENRES !) . Et que ceux (
masculin-neutre ici aussi...) qui ne le comprennent pas, devraient aller suivre un cours de remise à niveau sur les notions apprises (
enfin, "censées être apprises") en CE1, soit 7 à 8 ans...