- FylpDerMeister a écrit:
- M'ouais un gars ma vue "claqué" un barillet de 686 y m'a dit d'y aller molo car sa abîme l'arme.. com'n Mais bon le même gars trustais pas le polymère des glocks donc...
Bon, je vais y aller par copier coller, le système de "Citer" est foireux et ça colle le message dans la citation. À revoir au plus vite. Je disais donc qu'il y a un moyen infaillible d'abîmer un beau Smith ou un Taurus: fermer le yoke d'un flip du poignet avec un barillet bien plein, "à la gangsta' Hollywood".
C'est ça que ton gars voulait dire: comme le point de fermeture se trouve au bout de la tige d'éjection, elle va arriver très vite sur le loquet qui est sous la pression d'un ressort assez raide et ça va la retarder alors que le barillet continue son chemin, mû par son inertie.
La tige va fléchir et plier légèrement. Si l'effort du loquet est trop grand, ta tige va se déformer et le bout sera excentrique par rapport à l'axe du barillet.
Ça va causer une différence d'effort dans la double action et parfois causer un léger désalignement de la chambre par rapport au canon.
C'est facile à vérifier: ouvre le barillet et fais-le tourner tout en surveillant le bout de la tige.
Si le bout se déplace en rotation, tu as une tige d'éjecteur croche. Ça se répare mais c'est plus facile d'écouter les vieux croûtons et d'éviter de faire comme au cinoche...
PP.
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Confucius a dit: "Si tes roupettes sentent le caca, c'est que tu n'a pas appris à te torcher"...