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Sujet: Re: Syrie: Ça sent les claque sur la geule Dim 1 Sep 2013 - 18:50
Excellent fil de discussion, voici ma vision de la chose qui rejoint nombreux d'entres vous.
Voici la VRAIE raison du prochain conflit... A partir de là , écrit-il, la bataille du gaz a tourné en faveur du projet russe. En juillet 2011, l’Iran a signé divers accords concernant le transport de son gaz via l’Irak et la Syrie. Par conséquent, c’est désormais la Syrie qui devient le principal centre de stockage et de production, en liaison avec les réserves du Liban. C’est alors un tout nouvel espace géographique, stratégique et énergétique qui s’ouvre, comprenant l’Iran, l’Irak, la Syrie et le Liban. Les entraves que ce projet subit depuis plus d’un an donnent un aperçu du niveau d’intensité de la lutte qui se joue pour le contrôle de la Syrie et du Liban. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Maintenant en mer, la guerre se dessine selon l'armement des uns versus celui des autres. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
nitrate Occasionnel / Occasional
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Sujet: Re: Syrie: Ça sent les claque sur la geule Lun 2 Sep 2013 - 11:14
merci Varoum! lien très utile et intéressant
lavoltiges Grande gueule / Big mouth
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Sujet: Re: Syrie: Ça sent les claque sur la geule Lun 2 Sep 2013 - 11:27
en fait ça sent la petite tape sur le cul on dirait
nitrate Occasionnel / Occasional
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Sujet: Re: Syrie: Ça sent les claque sur la geule Lun 2 Sep 2013 - 12:18
États-unis! au grand pays de liberté et de démocratie, il veulent seulement exporter leur démocratie en Syrie voyons, en voiçi un exemple: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
nitrate Occasionnel / Occasional
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Sujet: Re: Syrie: Ça sent les claque sur la geule Jeu 5 Sep 2013 - 18:58
Publié le 05 septembre 2013 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 L'ONU sous pression
Washington a tenté de convaincre l'ONU que son équipe d'inspecteurs n'avait plus rien à faire en Syrie puisque les États-Unis avaient «leurs preuves». Sur la photo, le secrétaire-général de l'ONU, Ban Ki-moon, qui a réitéré cette semaine que l'usage de la force ne peut se faire sans l'aval du Conseil de sécurité. PHOTO BRENDAN MCDERMID, REUTERS
JOCELYN COULON L'auteur (j.coulon@umontreal.ca) est directeur du Réseau de recherche sur les opérations de paix et chercheur au CÉRIUM de l'Université de Montréal. Il est présentement en mission d'étude aux Nations unies.
Le président Barack Obama est à Saint-Pétersbourg aujourd'hui et demain afin de participer au sommet des chefs d'État du G20. La rencontre promet d'être glaciale. La question syrienne sera sur toutes les lèvres, et Obama aura fort à faire pour convaincre ses homologues d'appuyer une intervention militaire. Après tout, plusieurs d'entre eux sont remontés contre Washington après avoir appris cet été que leurs conversations téléphoniques étaient écoutées et leurs messages courriel lus par les services américains.
Dans tout cet aréopage, c'est sans doute le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon qui affichera le sourire le plus crispé. Au cours des dix derniers jours, les Occidentaux, et particulièrement les États-Unis, ont tout fait pour empêcher le travail des inspecteurs en Syrie. On comprend qu'ils soient nerveux, car, m'ont indiqué des sources internes, l'ONU va rendre public un rapport intérimaire mardi prochain, en plein débat au Congrès sur la demande du président Obama d'autoriser des frappes limitées sur la Syrie. À Washington comme à Paris, on redoute son contenu.
Le 21 mars dernier, à la suite d'allégations de l'opposition syrienne sur l'utilisation d'armes chimiques par le régime syrien, l'ONU a créé une mission d'enquête dirigée par un spécialiste suédois et composée d'experts de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques. Après des mois de négociations, les experts sont arrivés à Damas le 18 août. Trois jours plus tard, une attaque chimique sur des quartiers tenus par l'opposition faisait plusieurs centaines de morts. Sur le coup, Washington, Paris, Londres et Moscou, ont demandé à ce que les inspecteurs se rendent sur les lieux du drame, ce qu'ils ont fait assez rapidement compte tenu des mauvaises conditions de sécurité.
Pourtant, quelques jours plus tard, un autre son de cloche émanait des capitales occidentales. Elles avaient maintenant des preuves et elles avaient déjà conclu à la culpabilité du président syrien. Alors, pourquoi s'embarrasser des inspecteurs? Et puis, que vont-ils ramener au juste? Quelles seront les conclusions de l'inspection? Si, publiquement, le gouvernement américain appuie les inspecteurs, en privé c'est une autre réalité qui émerge.
La semaine dernière, le président Obama et ses conseillers ont donc inondé d'appels téléphoniques Ban Ki-moon et ses conseillers. Washington a tenté de convaincre l'ONU que son équipe d'inspecteurs n'avait plus rien à faire en Syrie puisque les États-Unis avaient «leurs preuves». Lors d'une conversation particulièrement musclée avec Obama, Ban Ki-moon a résisté.
Les conseillers du président se sont alors tournés vers le secrétaire général adjoint de l'ONU aux affaires politiques, l'Américain Jeffrey Feltman, dont Washington avait pratiquement oublié l'existence depuis sa nomination il y a un an, afin de le convaincre de reconsidérer le travail des inspecteurs. Peine perdue. Puis, jeudi et vendredi derniers, alors que le monde s'attendait à des frappes de missiles, Washington a demandé à l'ONU de retirer immédiatement ses inspecteurs alors en plein travail. Là encore, l'ONU a refusé, mais a écourté la mission.
Toutes ces pressions rappellent celles exercées par les États-Unis et la Grande-Bretagne pendant les mois précédant le déclenchement de la guerre contre l'Irak en mars 2003. Non seulement le système des inspections avait-il été décrié et ridiculisé, mais les États agresseurs l'avaient contourné afin d'offrir leurs propres preuves dont ont sait aujourd'hui qu'elles étaient pour la plupart fausses.
Pourtant, dans le cas syrien, Ban Ki-moon fait valoir qu'une inspection sur place par des experts indépendants des grandes puissances pourrait renforcer le dossier occidental. Il demande quelques jours de patience, pas des mois. Il est même prêt à dévoiler un rapport intérimaire la semaine prochaine au moment où les parlementaires américains étudieront la proposition du président de lancer des frappes «limitées et punitives». Mais les Américains et les Français, dont les preuves ne reposent pas sur des éléments qu'ils ont colligés sur le terrain, sont très nerveux. Très nerveux.
datrooper Occasionnel / Occasional
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Sujet: Re: Syrie: Ça sent les claque sur la geule Ven 6 Sep 2013 - 9:51
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Sujet: Re: Syrie: Ça sent les claque sur la geule Ven 6 Sep 2013 - 10:58
Tu as un bon point.
nitrate a écrit:
États-unis! au grand pays de liberté et de démocratie, il veulent seulement exporter leur démocratie en Syrie voyons, en voiçi un exemple: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Le lien YouTube ne fonctionne pas.
Paul64 Grande gueule / Big mouth
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Sujet: Re: Syrie: Ça sent les claque sur la geule Ven 6 Sep 2013 - 12:05
Un reportage associe l’attaque au gaz à Ghouta à l’opposition syrienne soutenue par les Etats-Unis
Citation :
Un reportage publié par l’agence Mint Press News (MPN) basée à Minneapolis associe l’attaque aux armes chimiques à Ghouta, banlieue de Damas, aux forces d’opposition soutenues par les Etats-Unis et qui combattent le régime syrien. Ceci contredit catégoriquement les allégations américaines infondées selon lesquelles le président syrien Bachar al-Assad est responsable de l’attaque de Ghouta, affirmation qui sert de prétexte à Washington pour attaquer la Syrie.
MNP a publié un article contenant les interviews de combattants de l’opposition se trouvant sur le terrain à Ghouta. Les deux auteurs de l’article sont les journalistes pigistes jordaniens Yahya Ababneh et Dale Gavlak, un correspondant de longue date de l’Associated Press, basé à Amman en Jordanie depuis plus de deux décennies et qui travaille actuellement pour l’AP, la National Public Radio ainsi que pour MPN.
Parmi les personnes interviewées il y a Abu Abdel-Moneim dont le fils figure parmi les 13 combattants de l’opposition tués à l’intérieur d’un tunnel servant à stocker ce qui était apparemment des armes chimiques.
Abdel-Moneim a dit que les armes avaient été fournies par un Saoudien nommé Abu Ayesha et qui dirige un bataillon rebelle. Il a décrit certaines de ces armes comme une « structure en forme de tube » tandis que d’autres ressemblaient à « d’énormes bouteilles de gaz. » Elles étaient entreposées dans des tunnels tandis que des combattants de l’opposition dormaient eux-mêmes dans des mosquées et des maisons privées avoisinantes.
Une combattante qui a parlé à l’agence d’information s’est plainte, « Ils ne nous ont pas dit ce qu’étaient ces armes, ni comment les utiliser. Nous ne savions pas que c’étaient des armes chimiques. Nous n’imaginions absolument pas que c’était des armes chimiques. »
Elle a dit, « Lorsque le prince saoudien Bandar donne de telles armes aux gens, il doit les donner à ceux qui savent les manipuler et les utiliser. »
Le prince Bandar est l’ancien ambassadeur saoudien de longue date aux Etats-Unis et qui est rentré de Washington pour diriger les services secrets saoudiens. Il a passé des décennies aux Etats-Unis, entretenant les liens les plus étroits avec l’appareil de renseignement militaire américain. Il serait le principal commanditaire saoudien, collecteur de fonds et fournisseur d’arme aux forces de l’opposition syrienne.Au moins une dizaines de combattants de l’opposition qui ont été interviewés pour le reportage de MPN ont dit qu’ils étaient à la solde de l’Arabie saoudite.
Un dirigeant de l’opposition à Ghouta a dit à MPN que le Front al-Nusra, l’une des principales milices fondamentalistes islamiques opérant en Syrie, avait la garde des armes chimiques. « Ils ne partagent pas d’informations secrètes. Ils ont simplement utilisé des rebelles ordinaires pour transporter et utiliser ce matériel, » a-t-il dit. « Nous étions très curieux au sujet de ces armes. Et malheureusement, certains des combattants n’ont pas manipulé correctement les armes et ont déclenché les explosions. »
En plus du reportage de MPN, un article paru dans le journal allemand taz a aussi associé les forces d’opposition aux attaques aux armes chimiques. Letaz a affiché le transcript d’une conversation téléphonique interceptée et mise en ligne (posted) sur Facebook entre un combattant d’al Nusra en Syrie et un financier se trouvant dans l’émirat du Qatar dans le Golfe persique et qui est allié aux Etats-Unis.
En essayant de convaincre le financier que ses forces étaient en position de force pour attaquer et reprendre la ville de Homs, le combattant d’al Nusra dit : « Frère, nous avons été aussi loin que [censuré], et nous avons utilisé des armes chimiques, mon frère. »
Après une pause, le financier qatari répond : « Oui, j’en ai été informé. Donne-moi des précisions, prépare-les et dis-moi comment je dois transférer l’argent. »
Aucun effort n’a été fait pour répondre, expliquer ou réfuter ces reportages de la part du gouvernement américain ou des médias à la botte du patronat qui, au lieu de cela, brament unanimement que l’atrocité a été commise par le gouvernement syrien.
Selon le journal britannique Independent, le service de renseignement saoudien, dirigé par le prince Bandar, a été le premier à prétendre, dans des messages adressés en février aux Etats-Unis et à d’autres puissances impérialistes, que le régime syrien a utilisé du gaz sarin. A l’époque la commissaire de l’ONU, Carla del Ponte avait examiné les accusations et avait conclu que c’étaient les rebelles qui avaient employé des armes chimiques et pas le régime d’Assad.
Patrick Martin
Paul64 Grande gueule / Big mouth
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Sujet: Re: Syrie: Ça sent les claque sur la geule Ven 6 Sep 2013 - 12:10
Le gouvernement étasunien, explique le président Obama, a trouvé les preuves « sans attendre les inspecteurs des Nations Unies ». Sans écouter non plus Carla Del Ponte…
Obama : « preuves » secrètes de la Cia contre Assad
Citation :
Le gouvernement syrien a réalisé la pire attaque chimique de ce siècle : c’est ce que déclare le président Obama sur la base de l’enquête de la Communauté d’intelligence USA, le réseau tentaculaire de services secrets composé de 17 organisations fédérales. En premier lieu la Cia, bien connue pour sa rigueur morale et la fiabilité de ses informations, comme elle l’a démontré en organisant les coups d’état les plus sanguinaires (en Indonésie en 1965, au Chili en 1973) et en fabriquant en 2003 les preuves (exhibées au Conseil de sécurité) justifiant la guerre et l’invasion de l’Irak.
Les résultats de l’enquête sont exposés dans le document de la maison Blanche «U.S. Government Assessment of the Syrian Government’s Use of Chemical Weapons on August 21, 2013». Selon de non mieux identifiées « sources indépendantes » (genre MSF, NdT) ce sont les forces gouvernementales qui ont frappé le 21 août avec des armes chimiques 12 localités de Damas. Inutile cependant de chercher les preuves dans le document. Celui-ci n’est qu’un « résumé déclassifié de ce qui s’est produit ». Les pages contenant les présumées preuves sont « classifiées », c’est-à-dire gardées secrètes pour « protéger les sources et les méthodes ». Elles n’ont de ce fait été fournies qu’ « au Congrès et aux partenaires internationaux fondamentaux » (comme les monarchies absolues du Golfe qui se passent très bien de vrais parlements, NdT). Le gouvernement étasunien, explique le président Obama, a trouvé les preuves « sans attendre les inspecteurs des Nations Unies ». Sans écouter non plus Carla Del Ponte qui, au terme d’une enquête ONU, avait attribué aux « rebelles » l’utilisation d’armes chimiques. Et en confirmant que le Conseil de sécurité ne compte pour les Etats-Unis que quand il donne le feu vert à leurs guerres (en autorisant « toutes les mesures nécessaires » comme cela s’était passé contre la Libye), Obama souligne d’un ton méprisant : “Je continue confortablement sans l’approbation d’un Conseil de sécurité des Nations Unies, jusqu’à présent paralysé (par le veto russe annoncé, NdT) et hésitant à juger Assad responsable”( I’m comfortable going forward without the approval of a United Nations Security Council that, so far, has been completely paralyzed and unwilling to hold Assad accountable” ). En réalité il continue, mais pas si “confortablement”.
Même si la Ligue Arabe (poussée par Kerry) demande « toutes les mesures nécessaires » contre Damas, il manque la participation militaire directe de certains alliés européens (due surtout à des difficultés politiques et économiques intérieures). Cameron veut « une riposte dure » contre Assad mais a été recalé par le parlement. Merkel déclare que « l’attaque chimique ne doit pas rester impunie » mais elle ne participe pas à une action militaire. Letta accuse le gouvernement syrien de « crime contre l’humanité » et exprime sa « compréhension » pour une intervention militaire des USA et de la France, à laquelle le gouvernement italien ne peut pas participer sans mandat ONU (même s’il y participe en aidant les commandements et les bases étasuniens en Italie à préparer l’attaque, qualifiée par le ministre de la Défense Mauro comme « un signal à Assad, pas une véritable guerre ». Les doutes et les peurs augmentent donc, pendant que les manifestants contre la guerre descendent dans la rue, devant même la Maison Blanche. C’est alors que le président Obama se souvient qu’il est « démocratique », en annonçant que « pour l’emploi de la force il demandera l’ « autorisation des représentants du peuple américain (étasunien, les représentants des autres peuples américains, au mieux il les ignore, et pas que linguistiquement, NdT) au Congrès. Il prévient cependant qu’il est prêt à donner à tout moment l’ordre d’attaquer. « Quel message donnerons-nous si un dictateur peut gazer des centaines d’enfants sans être punis ? » demande Obama.
Un message a déjà été donné par les Etats-Unis : en tuant des millions de Vietnamiens, dont de très nombreux enfants, y compris avec l’Agent orange à la dioxine qui après la guerre a continué à provoquer des morts et des naissances de bébés malformés ; en faisant des massacres en Irak, Yougoslavie, Afghanistan et Libye avec des bombes chimiques au phosphore blanc.
Sans qu’un président des Etats-Unis n’ait jamais été puni.
Edition de mardi 3 septembre 2013 de il manifesto
nitrate Occasionnel / Occasional
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Sujet: Re: Syrie: Ça sent les claque sur la geule Ven 6 Sep 2013 - 18:55
désolée! il on supprimer le lien voiçi le même vidéo prise par une autre personne
bateau blanc la russie et vont envoyer 3 autre bateau derniere nouvelle...
obama va recevoir une claque! juste pour dire que la russie a l avantage strategique avec leur flotte de bateau
woligator Grande gueule / Big mouth
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Sujet: Re: Syrie: Ça sent les claque sur la geule Sam 7 Sep 2013 - 17:04
belle map ça, mais faut pas oublié que les us gardent le détroit d'ormuz ave des portes avion et que dans le golfe persique aussi ya des portes avions
et un porte avion ca es promene pas tout seul ya une belle escorte avec lui
lavoltiges Grande gueule / Big mouth
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Sujet: Re: Syrie: Ça sent les claque sur la geule Dim 8 Sep 2013 - 10:23
on se fout du nombre en fait, vu que un seul bâtiment peut suffire à rayer de la carte une bonne partie de la terre c'est la que je trouve ce con d'obama dangereux et ce gros cons de hollande d'en rajouter, mais quel tête de bite. ferai mieux de trouver du travail aux français, ha c'est peut être ça, veux rouvrir des usines d'armement et remettre en route les chantiers navales avec des sous marins nucléaires et des portes avions avant que tout le savoir faire soit parti en chine
Paul64 Grande gueule / Big mouth
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Sujet: Re: Syrie: Ça sent les claque sur la geule Jeu 12 Sep 2013 - 6:00
USA / SYRIA : our Friends of today will be our Enemies of tomorrow - USA / SYRIE : nos Amis d'aujourd'hui seront nos Ennemis de demain
USA: nos Amis d'aujourd'hui seront nos Ennemis de demain
Dans ce documentaire sur la guerre du Golfe (Tempête du Désert) de George Bush senior survenu il y a 22 ans en janvier 1991, le point intéressant est de voir que parmi les alliés de la coalition internationale (29 pays membres) sous le commandement suprême des États-Unis d’Amérique venu Établir la Démocratie/Liberté étasunienne dans cette région, la Syrie pris part au assauts sur le terrain pour libérer le Kuwait des forces irakiennes de Saddam Hussein.
Hussein, lui même un ancien agent de la CIA et très bon ami de George Bush et de sa famille l’a appris à ses dépens...
Desert Storm - The Ground Assault
Le corps expéditionnaire syrien durant la deuxième guerre du Golfe envoyé pour libérer le Koweït entre 1990 et 1991 compta 21 000 hommes. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]