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Même s’il devait y avoir du terrorisme, Trudeau défend sa décision d’accueillir les Syriens
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Même s’il devait y avoir du terrorisme, Trudeau défend sa décision d’accueillir les Syriens
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PHOTO REUTERS
ANDREW MCINTOSH
Vendredi, 4 mars 2016 18:22MISE à JOUR Vendredi, 4 mars 2016 18:22
Même si un des 25 000 réfugiés syriens admis au Canada devrait commettre un acte terroriste, le premier ministre Justin Trudeau soutient qu’il ne regrettera pas sa décision de les avoir admis.
Le premier ministre Trudeau a fait cette affirmation lors d’une entrevue avec l’animatrice Lara Logan de l’émission «60 Minutes» sur la chaîne américaine CBS.
Des extraits de l’entrevue de «60 Minutes», qui sera diffusée dimanche soir, ont été rendus publics sur le site web de la chaîne, vendredi.
Plus que confortable
Pendant l’entrevue, M. Trudeau a défendu la décision du gouvernement libéral d'accepter les 25 000 réfugiés syriens au Canada très rapidement.
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Selon lui, il s’agit d’un geste «intelligent» qui respecte à la fois la sécurité du pays, mais aussi les valeurs partagées par tous les Canadiens.
C’était «la chose canadienne à faire», a-t-il dit. Encore aujourd’hui, il est «plus que confortable» avec ce qu'il a fait.
Pas sans risques
Toutefois, M. Trudeau a admis que le plan n’était pas sans «risques».
«Même si l'un de ces réfugiés commet un acte terroriste, en fin de compte, le fait d’être ouvert et respectueux les uns envers les autres est une façon beaucoup plus puissante de diminuer la haine et de la colère que (...) les grands murs et les politiques d'oppression. »
L’émission sera diffusée dimanche, quelques jours avant la visite officielle de M. Trudeau à Washington, où il doit rencontrer le président Barack Obama.
Il s’agira de la première visite officielle d’un premier ministre canadien soulignée par un dîner d’État en presque 20 ans.