Encore une fois, comme à Polytechnique, les policiers se sont contentés de boucler le secteur et d'installer "un périmètre se sécurité".
Ensuite, il y a eu un délai pendant lequel l'enfoiré a pu fignoler son travail tout à loisir en plaçant une balle dans la tête de toutes les victimes. Personne pour lui envoyer des pruneaux. Pas un seul couillu. Rien...
Ce genre de "tactique" fait l'affaire de tout le monde:
- De un, les policiers risquent beaucoup moins de se faire allumer (pourtant, c'est leur boulot de stopper le crime en cours).
- Le public voit les bons policiers "faire leur travail".
- Les politiciens auront un "body count" intéressant pour faire des discours réclamant, encore une fois, des lois restrictives sur les armes.
Et, en plus, on se profitera du côté spectaculaire de l'évèenement pour glisser la chose évidente sous le tapis:
trouver comment éviter que des individus dérangés en arrivent à passer à l'acte.
C'est un truc trop compliqué et pas payant du côté médiatique.
PP.
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Confucius a dit: "Si tes roupettes sentent le caca, c'est que tu n'a pas appris à te torcher"...