RÉALITÉ MOURIALAISE

Montreal avec les lunettes roses de Plante


Dans un monde idéal, tous les Montréalais seraient jeunes, sportifs, en santé. Ils circuleraient à vélo, emprunteraient la ligne rose, orange, verte, bleue
et tutti quanti.
Les rues bordées d’arbres seraient piétonnes. Les automobilistes pollueurs de plus en plus bannis, traqués, taxés. La ville deviendrait une excroissance du chic Plateau Mont-Royal. On bloquerait les rues tous les week-ends pour organiser des marathons.
Tout le monde il est beau, tout le monde il est content.
Mais voilà ! À Montréal et en banlieue,
vivent aussi des citoyens contribuables
qui n’ont d'autres choix que de circuler
en automobile, malgré le coût exorbitant des rares stationnements et des parcomètres…
lorsqu’on a la veine d’en trouver un. Ceux-là,
qui s’en soucie, madame la mairesse ?
Qui se soucie des personnes âgées, malades, en fauteuil roulant, dépendantes de l’automobile pour se déplacer,
se faire soigner, faire leurs courses, vaquer à leurs occupations, mener une vie normale ? Qui se soucie de ma voisine qui doit conduire son plus jeune à la garderie, les deux autres à l’école, avant de se rendre au travail ? Qui se soucie des chauffeurs de taxi, des livreurs, des ambulanciers et même des commerçants en manque de chalands parce qu’à vélo on ne peut pas faire les provisions de la semaine ni apporter un fauteuil sur son dos ? Et puis, l’hiver, ils font quoi, les cyclistes, des pistes réservées, mieux entretenues que nos rues et aussi larges que la rue Saint-Denis ?
Sacrilège ! Je fais partie de ces parias. Je suis Montréalais, âgé, à mobilité réduite. Je n’ai pas la force de me déplacer sur une longue distance avec mon déambulateur et mon fauteuil roulant. Alors, entrer dans un autobus toujours bondé parce que mes rendez-vous médicaux correspondent à l’heure de pointe ; utiliser le métro alors qu’il n’y a pas d’ascenseur. J’habite près du centre-ville et il m’en a coûté 45 $ pour me rendre au CHUM parce que le plus souvent je ne trouve pas de place pour me garer.
Faute d’une voix pour être entendu, je reste à la maison
et j’écoute madame la mairesse, telle Alice aux pays des merveilles, nous parler à la télévision de la vie en rose à Montréal. Alors que je troque mes lunettes roses pour des lunettes noires.

Devrai envoyer ce texte au journeaux, tres realiste.

OUi en effet possible que la belle Mourialaise réaliserait ce qu'elle fait.

Je te comprend donc j ai rester la 5 ans et je suis parti en courant

Idem

Stune folle plante, est en train de mettre la rue st denis en faillite au complet pour ses os***** de velos...

Et ce nest qun debut il parait elle va faire ca partout dans le grosses arteres......

Tous ceux qui ont voté pour Plante doivent être fiers. Finalement Coderre n'était pas si mal hein?

Tiens, un super duo

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Moi aussi je n'ai habiter à Mourial que quelques années ( Dieu merci ) Si j'étais obligé d'y retourner vivre je crois que j'irais me pendre à un arbre.

Je vois aucun avantage a demeurer a Montréal, juste des inconvénients, avec la manne d'emploie partout en région je vois pas pourquoi si quelqu'Un est pas heureux la bas, pourquoi y sacre pas sont champ de la pour vivre en paix ailleurs.
La dernière fois que j'y suis allé javais pas le choix mon fils était a l’hôpital, heureusement il était 1.30 am , depuis il est revenue dans sa petite ville après 10 ans de misère et de stress a MOURIAL.

4 petits gars sont partie tenté leurs chances musicale a Mourial, le premier 6 mois ,un est abattue d'une balles aux cou ,premier meurtres de l'année jamais résolu, on sauras jamais qui et pourquoi,

Un autre  toffé 3 ans et est revue avant de se pendre.

Mon fils et ti Luc y sont rester 10 ans, ti Luc a tout perdu est revenue de la endetter amocher mentalement, physiquement , mais tout va bien aujourd'hui,
Mon fils est revenue le dernier il y a près de 2 ans.
On est venu a un poil de le perdre, fatiguer mentalement physiquement le stress de la place,tomber dans la boisons, endetter par les tikets de toute sorte et le coût de la vie élever de la place, il voyais plus la façon de s'en sortir.

Aujourd'hui il est redevenue le fils qu'on avais avant qu'il parte dans cette os***** de ville de misère.

Il a une bonne job il est heureux dans sa petite ville et tiLuc aussi .
Montréal est passer a u poil de m'enlever mon fils, tant qu'a moi elle peut caller dans le fleuve la ta*****.

Je demeure sur la rive nord , et je vais fréquemment à Montréal et y travail à l'occasion,  A part le trafic , le stationnement et les travaux qui en finisse plus ,  pour ma part je trouve  que Montréal est un superbe belle ville et très agréable pour y passer de belle journée ou après-midi, plusieurs endroit  intéressant à voir et souvent méconnu des gens dans cette ville ,  est-ce que j'y demeurerai ? pas sur, mais j'en connais qui s'y plaise à y vivrent et qui y sont très heureux .

j'ai demeuré la 19 ans , quand jy suis arrivé cetait quand meme bien mais avec le temps ca cest degradé assé vite , le maire tremblay donnais les clés de la ville au gang de rue apres minuit , jy travaillais un peu dans chaque coin de ce cette ville , une fois jai du travaillé de nuit au 555 université et quand je finissait ma rue etait sens unique et je devais descendre jusqua ontario pour ensuite me rendre a pie 9 , j'ai du traversé le quartier gaie  taaabaaarnak  la y sen passe des choses cest une ville de nuit, le jours tous le monde dort.
une fois j'ai un aprenti menuisier avec moi pis je tourne dans une ruelle en lui disant check bin ca mon ben , laquelle de ses travestie tu veut , ta juste a attendre qui finisse avec leur client.

cest une ville de marde.

Arrivé a montreal a l’age de 3 ans, ca fait 2 ans que j’en suis partie, j’ai eu 60, la dessus au dela de 28 ans a prendre le metro, pas de stationnement possible au centre ville, ou en louer un a prix d’or. Je pourrais en conter longtemp de ce que j’ai vue dans le metro, je finissais souvent a 11 le soir.....

Né et élevé à Verdun, mais je n'y mets plus les pieds que pour travailler et pour aller chez mon frère.
Pis dans 3 ans, je devrais être bon pour prendre ma retraite, donc centre-ville!

Moi je me souviendrai toujours du mois de aoüt 1975.

Il y avait construction sur la partie du Blvd Métropolitain dans l'est de la ville. Au même moment il y avait construction dans le même secteur sur Henri-Bourassa, Sherbrooke, Notre-Dame et un peu plus loin sur Hochelaga.

Parlez-moi d'un ghetto.

J'ai passé la moitié de ma vie à Montréal, et je suis bien content d'en être sorti. On me demande si j'ai le désir d'y retourner vivre? La réponse est bien simple; non majuscule.

Pis la belle-mère qui est récemment décédée. Il fallait se taper l'approche du pont Champlain. La pauvre elle demeurait à Verdun. Tout un enfer l'entrée et la sortie de ce coin.

Cookie Monster a écrit:

...elle demeurait à Verdun.  Tout un enfer...

Excellent jeu de mots

Breton a écrit:

Cookie Monster a écrit:

...elle demeurait à Verdun.  Tout un enfer...

Excellent jeu de mots

Verdun est un des quartiers de Montréal. Autrefois une municipalité séparée, elle a été intégrée dans Montréal lors des fusions forcées il y a quelques temps. Je ne l'ai toujours pas digéré celle-là. Ça a déjà été un fief accordé à Zacharie Dupuis, un militaire Français originaire de Saverdun.

Breton a écrit:

Cookie Monster a écrit:

...elle demeurait à Verdun.  Tout un enfer...

Excellent jeu de mots

Tu ne le croirais jamais,mais la belle-mère demeurait sur un petit bout de rue nommé ''De la Poudrière''.  Lors de la Grande Guerre, une usine de munition et une poudrière étaient installée à cet emplacement.  D'anciennes bâtisses ont d'ailleurs été converties en condominium sur cette rue.

Quant au jeu de mots, je t'en donne le crédit.  Je n'y avais pas pensé, mais il est vrai que Verdun, France était un enfer à ce moment.

Par deux occasions je suis allé visiter le cimetière canadien à Vimy.  Toute cette région a dû, en effet, être un véritable enfer.  On en voit encore les marques et séquelles aujourd'hui, un sciècle plus tard.

Cookie Monster a écrit:

Breton a écrit:

Cookie Monster a écrit:

...elle demeurait à Verdun.  Tout un enfer...

Excellent jeu de mots

Tu ne le croirais jamais,mais la belle-mère demeurait sur un petit bout de rue nommé ''De la Poudrière''.  Lors de la Grande Guerre, une usine de munition et une poudrière étaient installée à cet emplacement.  D'anciennes bâtisses ont d'ailleurs été converties en condominium sur cette rue.

Quant au jeu de mots, je t'en donne le crédit.  Je n'y avais pas pensé, mais il est vrai que Verdun, France était un enfer à ce moment.

Par deux occasions je suis allé visiter le cimetière canadien à Vimy.  Toute cette région a dû, en effet, être un véritable enfer.  On en voit encore les marques et séquelles aujourd'hui, un sciècle plus tard.

Je suis en Bretagne, mais à l'époque j'habitais à Lyon, et j'ai visité toute la région de Verdun. J'ai vraiment été impressionné par le fort de Vaux. Je ne sais pas comment mes aïeux ont pu tenir dans cette horreur. Dans ma famille, j'en compte 5 qui ne sont pas revenus, et un (!) qui est revenu, c'est mon arrière grand-père, le père de ma grand-mère maternelle.

Mais ce n'est pas le sujet

Hardhammer a écrit:

Arrivé a montreal a l’age de 3 ans, ca fait 2 ans que j’en suis partie, j’ai eu 60, la dessus au dela de 28 ans a prendre le metro, pas de stationnement possible au centre ville, ou en louer un a prix d’or. Je pourrais en conter longtemp de ce que j’ai vue dans le metro, je finissais souvent a 11 le soir.....

Mon fils m'en raconte de temps a autre. en plus de la musique et c'est band , il a été aussi Doorman aux Foufounes Electriques ,aux Café Campus et un autre place je me souviens plus et aussi Brasserie de l'Ouest a St-Jean . IL en a vue des  affaire .

La seule affaire que je m ennuie de mourial ce sont les resto ils y avaient de très très bon resto

On se fait souvent des soirées resto à Montréal avec ma blonde.

Par contre, on voyage en train de banlieue, pas question de prendre l'auto. Pas de problème de trafic, construction, parking ...

Et de conducteur désigné

Tout à fait!

Cookie Monster a écrit:

Breton a écrit:

Cookie Monster a écrit:

...elle demeurait à Verdun.  Tout un enfer...

Excellent jeu de mots

Tu ne le croirais jamais,mais la belle-mère demeurait sur un petit bout de rue nommé ''De la Poudrière''.  Lors de la Grande Guerre, une usine de munition et une poudrière étaient installée à cet emplacement.  D'anciennes bâtisses ont d'ailleurs été converties en condominium sur cette rue.

Quant au jeu de mots, je t'en donne le crédit.  Je n'y avais pas pensé, mais il est vrai que Verdun, France était un enfer à ce moment.

Par deux occasions je suis allé visiter le cimetière canadien à Vimy.  Toute cette région a dû, en effet, être un véritable enfer.  On en voit encore les marques et séquelles aujourd'hui, un sciècle plus tard.

Oui, la rue De La Poudrière est située sur les anciens terrains de la DIL, qui fabriquait des munitions.
Mon père habitait en face de la DIL durant la 2e guerre, sur la rue Rushbrooke. Quand j'étais au secondaire à la Polyvalente Richard, j'ai souvent traversé ces usines qui étaient alors subdivisées en petits ateliers.

Que le monde est petit...