Le Québec, comme la majeure partie des pays occidentaux, à choisi il y a près de 50 ans de sortir des hôpitaux psychiatriques les patients atteints de maladies mentales (au sens très général de la définition).
La contention physique a été remplacée par la contention pharmaco-chimique.
Le système fonctionne assez bien, et les patient vivent une qualité de vie relativement acceptable pour autant qu'ils se conforment à la posologie des médicaments qui leur sont prescrit.
Effectivement, si pour une raison ou l'autre la personne omet de prendre ses médicaments on peut assister à des drames de toutes sortes.
C'est sans parler des conditions "borderline", non diagnostiquées, où un événement apparemment anodin peut causer des explosions inattendues et parfois dramatiques, sans même qu'il y ait des signes avant-coureurs facilement décelables.